Tolerance.ca
Directeur / Éditeur: Victor Teboul, Ph.D.
Regard sur nous et ouverture sur le monde
Indépendant et neutre par rapport à toute orientation politique ou religieuse, Tolerance.ca® vise à promouvoir les grands principes démocratiques sur lesquels repose la tolérance.
Critiques et comptes rendus
Par Victor Teboul
Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Victor Teboul est écrivain et le directeur fondateur de Tolerance.ca ®, le magazine en ligne sur la Tolérance, fondé en 2002 afin de promouvoir un discours critique sur la tolérance et la diversité. 

Contact :  info@tolerance.ca

Pour voir l'émission de Radio-Canada, consacrée à Victor Teboul et à Tolerance.ca, cliquez ICI

Pour plus d'informations, consultez :  www.victorteboul.com

Lire aussi : Les Juifs et les élites québécoises : des susceptibilités à ménager 
Articles de cette chronique
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Simon-Pierre Lacasse, Les Juifs de la Révolution tranquille : regards d'une minorité religieuse sur le Québec de 1945 à 1976, Ottawa, Presses de l’Université d’Ottawa, 2022, xxii, 323 p. 42 $

Divisé en dix chapitres, l'ouvrage est issu d'une thèse de doctorat dirigée par Pierre Anctil, qui signe la préface et qualifie le livre de « grande avancée » pour notre connaissance. (Texte intégral)

par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Lublin Studies, la revue de l’Université Lublin, en Pologne, publie dans son dernier numéro mon article consacré à Yves Thériault et à son roman Aaron, première œuvre publiée au Québec dans les années 1950, dont l’action se déroule dans le quartier hassidique de Montréal.  (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Vu hier à la Cinémathèque québécoise, l’excellent documentaire « Jacques Parizeau et son pays imaginé » de Jean-Pierre Roy et André Néron. Excellent pour plusieurs raisons, notamment pour avoir été produit par Vincenzo Guzzo, le propriétaire italo-québécois des salles de cinéma du même nom. Excellent parce qu’il a aussi donné la parole à M. Guzzo, qui, a-t-il expliqué, était tout à fait l’aise avec la fameuse déclaration de Parizeau sur les votes ethniques, qui a choqué certains milieux au cœur tendre de chez nous, alors que Parizeau soulignait une évidence. (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Tandis que le Québec se prépare à commémorer le triste anniversaire de la tuerie qui a eu lieu à la mosquée de la ville de Québec le 29 janvier 2017, je ne peux m’empêcher de penser au roman Le plongeur de Stéphane Larue, qui a été publié en 2016 et a reçu le Prix des libraires et le prix Senghor en 2017. Mais, quel est le rapport avec la tragédie survenue à Québec ?, me diriez-vous. (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Voir aussi (cliquez sur) : Les Juifs et les élites québécoises : des susceptibilités à ménager

For an English version of the above article, please click on: Accommodating Bedfellows: Montreal’s Jewish Community and Quebec’s Intellectual Elite

Au Québec, plus de vingt après sa mort, Mordecai Richler continue encore de déranger. Alors qu’un film adapté de son roman, Barney’s version, a été accueilli favorablement par les critiques, et qu’on lui a consacré un nouveau documentaire et une biographie (en anglais, remarquez bien), une polémique a agité en 2010 les milieux culturels et municipaux montréalais. Une vieille garde nationaliste s’opposait à ce qu’on honore sa mémoire en donnant son nom à une artère dans le quartier du Plateau où il avait vécu prétextant que Richler avait fait injure à la nation québécoise en qualifiant les Canadiennes françaises de truies reproductrices.  (Texte intégral)

par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Ma réaction à l’article de Natalie Mojžíšová, paru dans la revue universitaire polonaise LUBLIN STUDIES IN MODERN LANGUAGES AND LITERATURE,  intitulé « L’image de l’autre dans Aaron, roman montréalais d’Yves Thériault » 

Réponse adressée à la revue LUBLIN STUDIES IN MODERN LANGUAGES AND LITERATURE. (Texte intégral)

par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Diffusée du 12 décembre 2020 au 3 janvier 2021 à Télé-Québec, Dounia est une série animée de six émissions qui s’adresse à des enfants de 6 à 8 ans. Elle raconte l’histoire de Dounia, une enfant syrienne qui est forcée de quitter Alep avec ses grands-parents à cause de la guerre. Ils se résignent à traverser la mer et l’Europe en quête d’un pays d’accueil. Le voyage, comme on peut se l’imaginer, est semé d’embûches : tempête en mer, soldats méchants et menaçants qui empêchent les migrants de traverser les frontières, etc. Mais Dounia et ses grands-parents finissent par arriver au Québec. Et on se réjouit de ce « happy end ». Mais que dit-on sur le Québec dans cette série qui s’adresse aux enfants ? (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Professeur de philosophie au collège Édouard-Montpetit, situé sur la rive sud, en banlieue de Montréal, Éric Martin publie une analyse du mouvement indépendantiste afin de ne pas abandonner l’idée de la nation «aux mains des populismes de droite», nous dit-on en 4e de couverture de son ouvrage Un pays en commun. On comprendra que l’auteur défend l’idée d’une république québécoise, indépendante et «éco-socialiste», et qu’il est un sympathisant de Québec Solidaire. (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Secondaire V, le documentaire de Guillaume Sylvestre, sorti en salle le 17 janvier 2014,  se démarque fort heureusement des films à l’eau de rose se déroulant dans nos écoles, auxquels notre cinéma nous a jusqu’ici habitués. Pensons aux productions très gentillettes qui ne couraient aucun risque de déranger en mettant en scène des enfants, genre (comme diraient les jeunes de Secondaire V)  La Classe de madame Lise ou Monsieur Lazhar,  et qui ont pourtant été unanimement encensées par la critique. (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
La grâce royale posthume accordée en décembre dernier, en Grande-Bretagne, à Alan Turing, l'un des pères de l'intelligence artificielle et héros de la Seconde Guerre mondiale, illustre bien le chemin parcouru dans plusieurs pays occidentaux en ce qui touche la reconnaissance des injustices commises à l'endroit des homosexuels. Turing avait été condamné en 1952 pour homosexualité avant de subir une castration chimique. (Texte intégral)
12 Suiv.>>

Suivez-nous sur ...
Facebook Twitter