par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Je viens de regarder la dernière édition de La Grande Librairie (diff. le 9 oct. 2024) dans laquelle il est question des origines de la culpabilité et des manières de s’en libérer. Elle aurait dû s’appeler « Le Procès du mâle occidental ». Parmi les invité.e.s : cinq femmes et un (seul) homme. Il y est bien entendu question du sort fait aux sorcières d’autrefois et de la condition des femmes aujourd’hui.
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par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Simon-Pierre Lacasse, Les Juifs de la Révolution tranquille : regards d'une minorité religieuse sur le Québec de 1945 à 1976, Ottawa, Presses de l’Université d’Ottawa, 2022, xxii, 323 p. 42 $
Divisé en dix chapitres, l'ouvrage est issu d'une thèse de doctorat dirigée par Pierre Anctil, qui signe la préface et qualifie le livre de « grande avancée » pour notre connaissance.
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par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Rafraîchissante présence récemment de l’historien Francis d’Almeida parmi les invités de l’excellente émission Ccesoir de France Télévisions. Professeur d’Université, né au Benin, Francis d’Almeida est d’origine afro-brésilienne. Présence inhabituelle car il est plutôt rarissime de voir aux émissions françaises d’affaires publiques des intellectuels issus, comme on dirait au Québec, de la diversité, qui sont invités à commenter le monde politique français et les actions de ses dirigeants.
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par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Lublin Studies, la revue de l’Université Lublin, en Pologne, publie dans son dernier numéro mon article consacré à Yves Thériault et à son roman Aaron, première œuvre publiée au Québec dans les années 1950, dont l’action se déroule dans le quartier hassidique de Montréal.
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Vu hier à la Cinémathèque québécoise, l’excellent documentaire « Jacques Parizeau et son pays imaginé » de Jean-Pierre Roy et André Néron. Excellent pour plusieurs raisons, notamment pour avoir été produit par Vincenzo Guzzo, le propriétaire italo-québécois des salles de cinéma du même nom. Excellent parce qu’il a aussi donné la parole à M. Guzzo, qui, a-t-il expliqué, était tout à fait l’aise avec la fameuse déclaration de Parizeau sur les votes ethniques, qui a choqué certains milieux au cœur tendre de chez nous, alors que Parizeau soulignait une évidence.
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Tandis que le Québec se prépare à commémorer le triste anniversaire de la tuerie qui a eu lieu à la mosquée de la ville de Québec le 29 janvier 2017, je ne peux m’empêcher de penser au roman Le plongeur de Stéphane Larue, qui a été publié en 2016 et a reçu le Prix des libraires et le prix Senghor en 2017. Mais, quel est le rapport avec la tragédie survenue à Québec ?, me diriez-vous.
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par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Voir aussi (cliquez sur) : Les Juifs et les élites québécoises : des susceptibilités à ménager
For an English version of the above article, please click on: Accommodating Bedfellows: Montreal’s Jewish Community and Quebec’s Intellectual Elite
Au Québec, plus de vingt après sa mort, Mordecai Richler continue encore de déranger. Alors qu’un film adapté de son roman, Barney’s version, a été accueilli favorablement par les critiques, et qu’on lui a consacré un nouveau documentaire et une biographie (en anglais, remarquez bien), une polémique a agité en 2010 les milieux culturels et municipaux montréalais. Une vieille garde nationaliste s’opposait à ce qu’on honore sa mémoire en donnant son nom à une artère dans le quartier du Plateau où il avait vécu prétextant que Richler avait fait injure à la nation québécoise en qualifiant les Canadiennes françaises de truies reproductrices.
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par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Ma réaction à l’article de Natalie Mojžíšová, paru dans la revue universitaire polonaise LUBLIN STUDIES IN MODERN LANGUAGES AND LITERATURE, intitulé « L’image de l’autre dans Aaron, roman montréalais d’Yves Thériault »
Réponse adressée à la revue LUBLIN STUDIES IN MODERN LANGUAGES AND LITERATURE.
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par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Diffusée du 12 décembre 2020 au 3 janvier 2021 à Télé-Québec, Dounia est une série animée de six émissions qui s’adresse à des enfants de 6 à 8 ans. Elle raconte l’histoire de Dounia, une enfant syrienne qui est forcée de quitter Alep avec ses grands-parents à cause de la guerre. Ils se résignent à traverser la mer et l’Europe en quête d’un pays d’accueil. Le voyage, comme on peut se l’imaginer, est semé d’embûches : tempête en mer, soldats méchants et menaçants qui empêchent les migrants de traverser les frontières, etc. Mais Dounia et ses grands-parents finissent par arriver au Québec. Et on se réjouit de ce « happy end ». Mais que dit-on sur le Québec dans cette série qui s’adresse aux enfants ?
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par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Professeur de philosophie au collège Édouard-Montpetit, situé sur la rive sud, en banlieue de Montréal, Éric Martin publie une analyse du mouvement indépendantiste afin de ne pas abandonner l’idée de la nation «aux mains des populismes de droite», nous dit-on en 4e de couverture de son ouvrage Un pays en commun. On comprendra que l’auteur défend l’idée d’une république québécoise, indépendante et «éco-socialiste», et qu’il est un sympathisant de Québec Solidaire.
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