Ce n’est que des poètes que nous attendons la vérité, affirmait Hannah Arendt (1), qui a elle-même écrit 74 poèmes(2). Elle nous lègue cet héritage poétique. Les philosophes qui écrivent de la poésie n'ont rien d'extraordinaire. Les journalistes, charpentiers, bûcherons, croque-morts, juristes, etc., font pareils. C’est une façon de s’exprimer, autant que c’est une voix poétique qui prend son envol. Quelques fois, c’est excellent; souvent, c’est le contraire. Entre les deux se situent les poèmes d’Hannah Arendt dont nous jugeons bien faits, très intéressants, et que nous rapprochons, modestement, à sa philosophie.
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