L’écrivain américain Philip Roth (1933 – 2018) a été sur la liste des candidats pour le prix Nobel de la littérature jusqu’à la fin de ses jours ! Il méritait un tel prix, mais il ne l’a pas eu ! C’était comme entré au Ciel, « il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus ». Le livre « La tache » (1), auquel nous nous intéressons et que nous analyserons par la suite, résume amplement l’autorité et l’estime littéraire qu’a gagnée Philip Roth. À la lecture du livre, nous réfléchissons sur les ravages du politiquement correct, sur l’identité et l’antiracisme raciste, sur la fermeture de l’esprit critique dans le monde universitaire, sur la pensée réactionnaire, sur les blocages et les interdits culturels qui s’érigent autour de nous. En somme, il s’agit de s’interroger sur la façon donc la bêtise détruit aujourd’hui un individu.
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