par Archange Bissue Bi-Nze, Institut des sciences politiques Louvain-Europe
Le 27 février dernier, lors de son discours sur la politique africaine, le président français affirma que « la France devient le bouc émissaire idéal », responsable des situations de troubles et des problèmes de gouvernance interne dans ses anciennes colonies. Il s’engagea à ne pas laisser une telle perception évoluer. De même, Emmanuel Macron soulignait qu’il ne souhaite pas participer à un défi de puissance en Afrique, « une compétition […] anachronique » selon lui. Or, en examinant sa récente tournée africaine, le masque tombe.
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Brazzaville, le Président Emmanuel Macron et le Président de la République du Congo Denis Sassou-Nguesso. Image Élysée.