Des collégiennes musulmanes se racontent
Tiraillées entre deux cultures, les étudiantes musulmanes doivent redéfinir leurs rapports avec leurs confrères masculins, justifier leurs choix de vie auprès des autres musulmanes et s’intégrer dans leur nouvelle société d’accueil. Les défis sont multiples. Chacune les relève à sa manière. La plupart des collégiennes musulmanes ne portent pas le voile et la religion n’est pas très présente dans leur quotidien. Mais même dans les milieux des étudiantes les plus pratiquantes, le rapport au voile qu’elles portent et leur regard sur la société d’accueil est très varié d’un groupe à l’autre, voire d’une étudiante à l’autre. Les musulmanes, contrairement aux stéréotypes, ne présentent pas qu’un profil : elles sont plurielles.Vous devez souscrire à un forfait d'abonnement pour accéder à la version intégrale de cet article. Si vous en avez déjà un, veuillez vous connecter.
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* Rafif, Sedra, Serene et les autres, étudiantes au John Abbott College, dans leur local de prière.
Cet article fait partie d'une série sur la diversité des valeurs et des croyances religieuses dans les milieux collégial et universitaire réalisée grâce à la contribution financière de :