Détecter les odeurs est plus complexe qu’il n’y paraît
par Jean-Marie Heydel, Professeur de Biochimie et Biologie Moléculaire, Université de Bourgogne – UBFC
Les nombreuses molécules odorantes qui pénètrent dans notre nez au quotidien à la faveur d’un repas, du croisement de l’effluve d’un parfum ou lors de situations plus désagréables, interagissent avec des « interrupteurs olfactifs », des récepteurs situés sur les neurones des tissus de notre cavité nasale.
Le récepteur en biologie est l’équivalent d’un interrupteur. Diverses molécules « allument ou éteignent » ces récepteurs de façon coordonnée ou non, interrompant ou déclenchant des actions et participant ainsi au fonctionnement des cellules, des organes et de l’organisme.
Lire l'article complet
© La Conversation
-
lundi 12 février 2024