Sept mille poèmes, plus ou moins, c’est énorme, c’est un trésor poétique appréciable que Bertolt Brecht (1898 - 1956) nous a légué (1). Une source poétique immense et riche, que nous examinions, par la suite de façon exclusive, de façon restreinte, dans son versant d’agit-prop (2). Afin d'effectuer notre analyse, nous sélectionnons quelques poèmes d’« agitation » et de « propagande » servant à rendre un service idéologique aux Partis bolchevik léniniste-staliniste (abrégé par la suite uniquement en « le Parti ») autour du monde. Nonobstant nos divergences politiques inconciliables, c’est de la poésie engagée d’un vrai poète ! Les poèmes agit-prop de Brecht révèlent néanmoins de la naïveté politique, de l’aveuglement idéologique, de fermeture de l’esprit, et il convient de les examiner de façon critique et de réfléchir « dialectiquement » sur leurs contenus, sur leurs rôles idéologiques. Nous critiquons sans complaisance.
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