Pour s’identifier au Québec, suffit-il de connaître le français ? Une question adressée à M. Jolin-Barette, ministre responsable de la langue française, et à Mme Nadine Girault, ministre de l’Immigration
À l’heure où le ministre Simon Jolin-Barrette promet une refonte de la Charte de la langue française, Tolerance.ca lance le débat : le fait de connaître le français suffit-il pour s’identifier à la nation québécoise ? Paul Mikhail est l’auteur des Insolences d’un importé. Il avait dix mois lorsqu’il est arrivé au Québec en 1973. Originaire d’Égypte et francophone, il a grandi à Candiac, parmi les «pure laine ». Dans un ouvrage au style personnel et coloré qui aurait séduit un autre insolent – le frère Untel (1), pour ne pas le nommer -, il livre ses quatre vérités aux Québécois. Osera-t-on le lire ? Ses réflexions portent autant sur les moyens de promouvoir l’identité québécoise qu’aux politiques actuelles en matière d’immigration.
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