Jbara a ouvert ses yeux sur un monde où tout est interdit, haram. Même sa naissance relève du haram. Il n’y a ni éducation ni notion de beauté à Tafafilt , pour la simple raison, qu’on est pauvre. La finesse et la galanterie sont données aux riches. Jabra, dans son milieu ne signifie rien sauf son travail qui tolère son étant. « Mon père serait incapable de vous dire si je suis belle, ma mère aussi. Ils diraient tout au plus : « C’est une fille travailleuse, Jbara ! » « C’est une notion de riche, la beauté. Moi, pour l’instant, je suis travailleuse.»
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